• Bienvenue à Barovia

    Passant par l'Ombre la vieille Griselda vous a conduit à la croisé des chemins ou trône l'homme mort, sur sa croix. Là vous avez rencontré une troupe de saltimbanque qui avaient choisi un champion pour vous aider, Le Père Chaine, un vieil homme en robe de bure, moine d'Ilmater . Ils ont pris Anton le petit fils de Griselda avec eux et vous ont mené a travers les  plaines de cendre vers votre destination.

    L'auberge :" la vigne de sang " était un havre chaud et accueillant en comparaison de la sombre forêt peuplée de loups, de la plaine humide et boueuse et des rues désertes que vous avez traversé pour atterrir dans ce village en piteux état.

    Arik le barman ne vous a pas fait grande impression.

    Les trois Vistanis, deux femmes dont une dénommée Mirabelle et un homme non plus , quoique leurs regards en coin indiquait une certaine curiosité mais rien de plus normal puisque des étrangers arrivent dans un village étrange.

    Seul Ismark Kolyanovich était heureux de vous voir et avide de vous parler , entrainé par le vin rouge ; un Numéro 3 de la vigne des mages . Il vous a parlé de sa sœur, Ireena , celle là même dont parlait la lettre trouvée sur le cadavre a l'entrée du domaine.

    Il vous as parlé de Stradh Von Zarovich le vampire seigneur des lieux et du tourment qu'il inflige au village depuis un mois, de la mort de son père et de la nécessité de soustraire Ireena a ce monstre.

    Il vous a rappelé comment un vampire invoque et contrôle loups, chauves souris et vermines comment il peut lui même se transformer en ces créatures . Il a confirmé vos connaissances sur le fit qu'il ne peut entrer chez les gens sans invitation de leur part ce qui explique sans doute pourquoi la ville semble déserte.

    Puis a peine titubant malgré le litre de vin ingurgité il vous a invité à le suivre chez lui.

     

    Au-delà de ces collines, s’élevaient d’autres
    forêts et les grands pics des Carpates mêmes. Nous les voyions à
    notre droite et à notre gauche, le soleil d’après-midi illuminant
    leurs tons déjà splendides – bleu foncé et pourpre dans le creux
    des hauts rochers, vert et brun là où l’herbe recouvrait légèrement
    la pierre, puis c’était une perspective sans fin de rocs découpés
    et pointus qui se perdaient dans le lointain, où surgissaient des
    sommets neigeux. Quand le soleil commença à décliner, nous vîmes,
    ici et là, dans les anfractuosités des rochers, étinceler une chute
    d’eau. Nous venions de contourner le flanc d’une colline et j’avais
    l’impression de me trouver juste au pied d’un pic couvert de neige
    lorsqu’un de mes compagnons de voyage ma toucha le bras et me dit
    en se signant avec ferveur :
     – Regardez ! Istun szek ! (Le trône de Dieu !)


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